| Les 315 jardins d'enfants qui accueillent 23.000 enfants sont menacés par la loi et ses nouveaux arrêtés sur "l'école de la confiance". La réaction de la FNEJE à ce sujet : La Fédération Nationale des Educateur.rice.s de Jeunes Enfants et le collectif des Jardinsd’Enfants de la ville de Paris alertent les parlementaires, les élu.e.s et les professionnel.le.s de la petite enfance sur les conséquences de la loi “ Pour une école de la confiance ” débattue en première lecture à l’Assemblée Nationale du 11 au 15 février 2019. Ce projet de loi vise à élargir l’instruction obligatoire à trois ans alors qu’elle ne l’est aujourd’hui qu’à six ans. La FNEJE dans son communiqué du 10 avril 2018 se questionnait déjà de sconséquences d’une telle loi sans remettre en cause le principe de l’instruction obligatoire à trois ans mais en demandant la garantie d’un accueil de qualité à l’école maternelle tout en ne démantelant pas les dispositifs déjà existants et qui ont fait leur preuve tels que les classes passerelles et les jardins d’enfants. La FNEJE s’associe donc au collectif des Jardins d’Enfants de la Ville de Paris pour lancer un appel à la non disparition des jardins d’enfants et réitère ses propositions quant au projet de loi “ Pour une école de la confiance ”, à savoir : -...... La suite dans le fichier à gauche. Des propositions sont faites. Sans oublier l'obligation pour les enfants à partir de trois ans d'aller à l'école maternelle ne va pas dans le sens de laisser les parents la liberté de mettre leur enfant où ils veulent. Voir mon articles : Pauline revient ! https://lesprosdelapetiteenfance.fr/vie-professionnelle/paroles-de-pro/chroniques/les-chroniques-de-bernadette-moussy/pauline-reviens-par-bernadette-moussy |