MARIA MONTESSORI 1870-1952
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DANS: "LES PÉDAGOGUES DANS L'HISTOIRE", PAGE 153 -Ses choix essentiels -De la discipline à la liberté -L’organisation au jardin d’enfants -Le matériel, l’ordre dans le chaos MONTESSORI AUX USA Cet ouvrage publié par mon amie Murielle Lefèvre est non seulement original, mais m'a ouvert à des connaissances sur cette pédagogue que je viens partager avec vous. Il s'agit en particulier du texte qu'elle a écrit et qui a été à la naissance de "la casa dei bambini". Le texte entier est à télécharger dans la marge à gauche. Je vous le résume ici même : Après avoir raconté l'histoire du bâtiment qui en lui-même est impressionnant, les enfants de ce quartier pauvre arrivent et pour les accueillir : "Une pièce ressemblant de près à une prison pour enfants a été réservée à cet effet. On espérait trouver une personne ayant suffisamment de courage pour s’attaquer au problème. En raison de mon aptitude de médecin du travail pour l’hygiène, on me proposa de m’intéresser au travail. Après avoir évalué la situation, je fis la demande pour que les aides les plus rudimentaires en matière d’hygiène, de nourriture et d’installations sanitaires soient mises à disposition." Elle trouve une femme de 40 qui accepte de s'en occuper. Le 6 janvier 1907 la salle est inaugurée. ...:"Quand les enfants, rangés par âge de 2 à 6 ans, entrèrent, ils étaient tous habillés de la même façon dans du coutil bleu épais et lourd. Ils étaient effrayés et, gênés par le tissu empesé, ne pouvaient bouger librement les bras et les jambes. En dehors de leur propre communauté, ils n’avaient jamais vu personne. Pour les faire se déplacer ensemble, on les faisait se donner la main. Le premier enfant récalcitrant était tiré, entraînant ainsi le reste de la file. Ils pleuraient tous misérablement. " Ils ont à leur disposition des tables grossières. Montessori apporte son matériel de recherche, à savoir du matériel sensoriel et des "vie pratique". Elle dit à l'adulte responsable de ne pas intervenir lorsque les enfants le manipulent. On leur donne du papier et des crayons. Et elle va les visiter une fois par semaine Mais pour les enfants qui avaient vécu dans des taudis, cet environnement, blanchit à la chaux; un peu d'herbe dans la cour, le fait de n'être jamais dérangés dans leur activité, peu à peu ils se concentrent. Ils deviennent de plus en plus sociables et communicatifs. Font preuve de compréhension, de vivacité et de cofinance, Ils sont joyeux. Les mères s'en aperçoivent et peu à peu les enfants ont un impact positif. Les enfant commencent à lire et à écrire avec la méthode que Montessori a mis au point. Ils créent la leçon de silence (Elle le relate dans son ouvrage : L'enfant) Toute personne qui désire suivre ma méthode doit comprendre qu’il ne doit pas m’honorer mais plutôt suivre l’enfant comme son guide. Voici comment elle termine son texte Un film à voir: http://www.montessori-lefilm.org/www.montessori-lefilm.org/ Un podcast sur France culture : Toute une vie Maria Montessori : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/toute-une-vie/maria-montessori-1870-1952-le-mystere-de-l-enfant-9231225 Pauline Kergomard et Maria Montessori : journals.openedition.org/leportique/891 DES ECRITS D'ETUDIANTES : "JE FAIS DONC J'APPREND" Une réflexion sur la position de l'éducatrice par une étudiante EJE "Les pratiques, bien qu’elles peuvent nous paraître banales et évidentes tant nous les avons intégrées, sont pourtant le fruit de réflexions liées à nos valeurs. Si cela a pu se construire par le biais de nos observations ou de nos expériences, nos diverses lectures ont également été un outil indispensable. De nombreux pédagogues de l’Éducation Nouvelle ont été reconnus de par leurs théories, toutes reliées à leurs propres observations et expériences et viennent ainsi appuyer les démarches des professionnels de la Petite Enfance. Quelques questionnements … La scène se passe dans une crèche. Laura (12 mois) se trouve dans une piscine à balles dans laquelle elle est entrée seule. Rapidement, elle demande de l’aide aux professionnelles occupées avec d’autres enfants. L’une d’elle va la chercher : « tu veux sortir ? » et la prend pour la déposer hors de la piscine. Plus tard, l’enfant retourne dans la piscine et réclame de nouveau l’attention : « Tu es capable Laura, on ne va pas t’aider car tu sais sortir de là toute seule ». Cette réponse ne semble pas satisfaire l’enfant qui commence à appeler plus fort, puis finalement par pleurer. C’est alors que j’essaie d’apporter une réponse différente en allant m’installer auprès d’elle et en l’encourageant dans les mouvements qu’elle entreprend avec de multiples hésitations, retours en arrière, etc. jusqu’à ce qu’elle parvienne à sortir seule. Elle sourit et tape dans ses mains. Laura retourne plusieurs fois dans cette piscine à balles pendant plusieurs jours et finit par parvenir à en sortir seule. Comment les enfants apprennent-ils, par le biais de quels outils ? Quel est le rôle du professionnel auprès d’eux et quelle place tenir ? Comment intervenir de façon adaptée à chaque situation et à chaque enfant ? Dans quel but ? Et si les enfants semblent plus épanouis dès lors qu’ils ont fait seuls, comment amener ceux qui demandent de l’aide à faire de même ? Lors de mes observations, j’ai pu appréhender plusieurs types d’actions possibles face aux demandes d’un même enfant et même de plusieurs. J’ai pu remarquer que certains enfants semblaient avoir développé une sorte de dépendance à l’adulte, un adulte que l’on pourrait qualifier de « trop présent », même dans les situations pour lesquelles ils ont les capacités pour s’en sortir seuls. Ceux-ci semblent plus souvent concernés par la frustration du fait qu’en collectivité, les adultes ne sont pas forcément disponibles à chaque moment pour faire avec eux. Ils m’apparaissent comme « piégés », à ne pouvoir prendre part à aucune activité s’ils ne sont pas avec un adulte. De même, j’ai pu observer ce qu’il se passe lorsqu’un adulte peut être qualifié de « trop absent » dans le sens où celui-ci, dans le souci d’amener l’enfant vers une autonomie certaine, va mettre en place une certaine distance en disant à l’enfant qu’il est capable de faire seul, qu’il n’a pas besoin d’aide, tout en s’occupant d’autres enfants. J’ai pu observer plusieurs types de réactions de la part des enfants quand cela arrivait : soit le jeu était délaissé, soit l’enfant s’énervait, soit il se mettait à pleurer. J’ai également pu appréhender une troisième façon de faire de la part d’un autre professionnel et que j’ai moi-même mis en place. Il s’agit là de ne pas faire à place de l’enfant, mais de l’accompagner tout de même par le biais de la parole, du regard ou bien des gestes. Par cette façon de faire, je mets en pratique mes connaissances sur la création essentielle d’un lien d’attachement avec l’enfant, engendrant et maintenant une sécurité affective, physique et psychique de l’enfant. S’attacher, c’est aussi mieux savoir se détacher et expérimenter seul tout en étant certain d’être en sécurité grâce à l’adulte démontrant sa présence, son attention particulière à l’enfant. Alors, sauf exception, les enfants essaient de parvenir à leur fin seul, en tâtonnement, hésitant, recommençant et ce durant plusieurs jours, avec le même accompagnement, jusqu’à ce qu’ils parviennent à gérer ses situations nouvelles ou difficiles, seuls. Se dégage alors d’eux des émotions positives telles que la joie où les enfants sourient, tapent dans leurs mains, voire de la fierté : certains disent même « bravo ! » ou pour les plus grands « c’est moi qui ai fait ». Par le biais de nombreuses observations, j’ai pu constater que tous les enfants, sans exception, répètent leurs expérimentations, tantôt en la répétant de façon totalement identique, tantôt en en changeant quelques éléments. La finalité de ces répétitions est la même : expérimenter la même chose de façon différente pour comprendre la situation dans sa globalité, et une fois qu’on a compris, parvenir à trouver une solution. L’efficacité de l’apprentissage est fortement reliée à la conscientisation de l’action par l’enfant, mais aussi à sa répétition, qu’elle soit directe ou distanciée dans le temps. L’enfant a toutes les potentialités pour réussir en lui, il s’agit juste de respecter son rythme, de le laisser faire comme et quand il en a envie. Lorsqu’il se sentira prêt, et non pas quand l’adulte aura décidé qu’il l’est, il tentera d’acquérir une nouvelles position par ses propres moyens, à son rythme et par le biais de répétitions. Les apprentissages se font par l’action, ainsi, l’expérience est un élément privilégié de l’apprentissage. C’est donc de l’action propre de l’enfant que naît son savoir. Quel comportement l’adulte doit-il alors adopter, dans l’intérêt de l’enfant ? C’est un des points importants mis en avant par Montessori, qui indique que l’adulte doit respecter la démarche naturelle de l’enfant. L’enfant décide de ce qu’il veut faire ou non, et aussi de la façon dont il veut le faire ou non. Ce point-là me paraît très important. Montrer comment il faut faire à l’enfant, voire faire à sa place revient à lui imposer une seule et unique façon de faire qui ne lui convient pas forcément, ce qui le mettra en difficulté s’il ne parvient pas à reproduire ce qui lui est imposé. L’enfant a des ressources et des capacités qui se transformeront en compétences. Le laisser les expérimenter, les exprimer c’est lui faire confiance, lui donner de l’importance et par ce biais lui faire prendre d’autant plus conscience de son existence. Savoir le reconnaître dans ce qu’il est et ce qu’il fait lui permettra de se faire confiance à son tour. L’éducateur est un accompagnant, son rôle est d’amener l’enfant vers le passage à l’action en tout sécurité, il lui faut l’inciter, l’encourager aux « bons moments » sans anticiper ses demandes et avec les « bons outils », paroles, gestes, regards pour le conduire à prendre conscience de ses potentialités. Il n’y parviendra probablement pas du premier coup, c’est normal, et j’ai pu repérer que les enfants ne voient pas du tout cela comme un échec, ils reviendront très volontiers « retenter leur chance » jusqu’au succès. Si le but ultime des professionnels de la Petite Enfance est en soi d’apporter autant que possible aux enfants un développement harmonieux et une ébauche d’autonomie et d’indépendance, il n’est pas chose aisée de savoir se positionner de la façon la plus « juste » pour les favoriser. Chacun a ses valeurs, ses expériences personnelles et sa propre façon de penser, mais pour autant, grâce à l’observation, il me paraît plus évident que chacun puisse adapter, réajuster son positionnement et converger, grâce à des échanges en équipe, vers une action éducative commune. Selon moi, un bon éducateur est un professionnel qui ne se laisse pas submerger par la collectivité mais qui est au contraire capable d’apprécier, d’appréhender et d’accompagner chaque enfant de façon la plus individualisée possible. En partant du postulat que chaque être humain est unique, il est évident que l’on ne peut pas avoir qu’une seule et même façon de « faire » ou de « laisser faire », ni la même relation avec chaque enfant. Chacun est à prendre dans sa globalité, dans son individualité, dans son environnement qui lui est propre et doit être accompagné de telle façon qu’il renforcera sa différence et construira sa propre personnalité, dans le souci d’en faire un être libre. Comme le disait Maria Montessori : « Aide moi à faire seul » ! TACHET Cassandra Etudiante Educatrice de jeunes enfants Bibliographie Livres
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Pour illustrer une autre idée chère à Montessori: le respect de l'autonomie de l'enfant voici un écrit qui par un témoignage en explique la complexité et la richesse: PERDRE DU TEMPS POUR EN GAGNER, UN CHEMIN VERS L'AUTONOMIE La scène se passe en MECS (maison d'éducation à caractère social), à 18h. « Je suis accompagnée d’une éducatrice qui voulait me montrer comment se déroulait le temps de la douche pour les plus petits. Je demandé à Milo (3 ans) s’i l accepte que j’observe son temps de douche. Il accepte. L’éducatrice déshabille Milo, en m’expliquant qu’il faut faire vite car nous n’avons pas le temps de trainer. Une fois déshabillé, elle le porte et le pose dans le bain, puis elle commence à lui laver les cheveux, tout en m’expliquant qu’il faut commencer par les cheveux puis finir par le corps. Une fois les cheveux savonnés, elle les rince. Elle m’explique ensuite qu’il y a un savon pour chaque enfant avec leur nom écrit sur la savonnette ainsi qu’un gant au nom de chaque enfant. Elle lave le corps de Milo. Milo joue avec l’eau et le robinet tout en sautant dans le bain, ce qui rend la tâche plus difficile pour l’éducatrice. L’éducatrice hausse le ton et dit « Alors maintenant ça suffit, tient toi correctement et laisse-moi te laver, on n’a pas le temps de jouer ! ». Milo se met à pleurer et se jette au sol. L’éducatrice le rattrape et finit de le laver sans rien dire pendant que Milo continue à pleurer. Une fois Milo rincé, elle coupe le robinet et prend la serviette pour le sécher. Elle le sort du bain. Milo arrête de pleurer et se laisse faire. Elle lui enfile son pyjama et ouvre la porte puis lui propose d’aller jouer « Tu peux y aller, vas jouer avec les autres ». Dans cette observation, je me pose beaucoup de questions. En effet, comprenant le manque de temps, je me demande pourquoi rien n’est verbalisé à l’enfant ? Pourquoi ne pourrait-il pas jouer et l’adulte s’adapter en conséquence ? Mais surtout, pourquoi l’enfant ne peut-il pas se déshabiller, se laver, s’habiller seul, avec un accompagnement de l’adulte qui s’ajuste à ses besoins ? D’après Maria Montessori les enfants veulent prendre des responsabilités mais les adultes les en empêchent en voulant tout maitriser. Montessori comprend que l’enfant entre très jeune dans un processus d’autonomie mais l’adulte refuse. Elle laisse alors l’enfant aller jusqu’au bout de ce qu’il veut faire et l’adulte ne doit jamais interrompre l’enfant. « Cette nouvelle voie de l’éducation cherche à libérer en l’enfant ce potentiel afin qu’il s’épanouisse ; à le libérer en enlevant les obstacles qui peuvent se dresser sur son chemin, et en lui offrant un milieu de vie dans lequel il puisse exercer ce qui est en train de naître en lui et découvrir ce dont il a besoin. ». Elle propose alors une pédagogie de l’autonomie : « aide-moi à faire seul » et c’est ce principe pédagogique que je rejoins le plus dans ma pratique professionnelle et que j’essaye d’ajuster auprès de chaque enfants et de leurs besoins spécifiques. Depuis lors j’accompagne l’enfant à la douche, je m’assoie sur une chaise et je le laisse tout faire. Je discute avec lui, et lorsque il oublie des zones du corps à laver, je lui rappel, je lui dis même de laver son dos lui-même. Je mets à leur disposition une petite marche permettant de les aider à entrer dans le bain et à en ressortir seul. Ils se sèchent tout seul et s’habillent seul. Souvent, Milo me manifeste sa fierté de faire tout seul. C’est toujours dans la joie et la bonne humeur que les enfants prennent leur douche. Je pense avoir eu de bonnes initiatives même si je peux avoir encore de mauvais réflexes en étant toujours pressée par le temps. Je pensais que cela serait facile de faire confiance à l’enfant mais je remarque aujourd’hui que j’ai mis beaucoup de temps à réellement le faire et que c’était un exercice plus difficile pour moi que je ne le croyais. Il est donc important de prendre en compte les différents besoins de l’enfant et d’avoir une réelle confiance en lui. C’est un travail difficile pour l’adulte connaissant les responsabilités qu’il a sur des enfants qui ne sont pas les leur. Je pense avoir fait un gros travail sur moi-même, ma pensée et mes réflexions pédagogiques me permettant de parfaire mes pratiques professionnelles. GUNER Anaïs, étudiante EJE de troisième année. Bibliographie - Flayol et Monod ;"La méthode Montessori dans les écoles maternelle et les Jardins d'enfants" in "L'éducation", octobre 1931 - Landfield-Fisher Mme, "L'éducation Montessori", 1915 - MONTESSORI M., "L'enfant", Desclée de Brouwer, 1930; 1935 traduit par J. J. Bernard - MONTESSORI M., "La pédagogie scientifique" ; Larousse, 1932 - MONTESSORI M., “L’esprit absorbant de l’enfant”, EPI/Desclée de Brouwer,1959 et différentes éditions. Il y aura de nombreuses éditions de ces publications - MONTESSORI M., "De l'enfant à l'adolescent"; Desclée de Brouwer - SIZAIRE A., "L'éducation libératrice", EPI, 1994 -" Le manuel Montessori", textes réunis, col. femmes, Denoël Sites Le jardin des enfants à Latresne, une école Montessori. http://blog.montessori.fr/ Ce site présente des formations soit à la pédagogie montessorienne soit de pédagogie plus générale pour les parents, les éducateurs ou les enseignants. Il présente une biographie et les idées principales de M. Montessori de façon simple, claire, très bien documentée et avec des illustrations jolies et significatives. Pareil pour la façon d'éduquer "à la maison", ce qui met le site à la portée de tous. Il propose une bibliographie riche avec commentaires. Une liste d'institutions montessoriennes avec leur présentation est à disposition. Il est possible de mettre des annonces contre une contribution libre. Pour finir c'est un site agréable, sympathique, dynamique: à voir! pour ceux et celles qui veulent connaître M. Montessori et son actualité!" Très bon outil de travail, un CD avec toute la méthode de M. Montessori! des photos, des démonstrations... . On peut voir une démonstration http://www.montessori-france.asso.fr Ce site dont la présentation est claire comporte deux institutions: l'AMF et l'ISMM. La première concerne l'Association de Montessori France, qui après avoir présenté une courte biographie de M. Montessori, avec ses idées principales, permet par un autre lien d'accéder à des adresse d'écoles montessoriennes en France. La seconde institution est l'Institut Supérieur . Montessori. Il présente son centre de formation dont le contenu est détaillé et il est suivit de la présentation d'une école pratique. On peut aussi accéder aux différents cursus de formation continue pour le personnel responsable d'enfants de 3 à 6 ans. Ce dernier programme est riche. http://www.lenfantetlavie.fr/ Site bien clair de la publication trimestrielle" l'enfant et la vie", qui propose du matériel de réflexion éducative sous forme d'articles de publications ou de sites, sur des sujets concernant l'éducation, l'enfance, l'adolescence, le développement de la personne et d'autres sujets pouvant intéresser les parents, les éducateurs et autres travailleurs sociaux. Ce peut -être un bon outil de travail. Il est possible soit de télécharger des articles soit de commander des ouvrages d'anciens numéros et même de s'abonner à la revue "l'Enfant et la Vie! La référence philosophique de ce site est la démarche de maria Montessori. C'est pourquoi il est dans cette page http://www.montessori-ami-.org Site en anglais de l'Association internationale de Montessori. Très riche, il présente et témoigne de son activité actuelle et ancienne, puisqu'elle fut fondée par la pédagogue en 1929. De nombreuses photos servent de liens ou d'illustrations. On y trouve la biographie de Montessori, ses idées pédagogiques, la présentation de son matériel et les activités de l'association. Une information sur la formation, les congrès, les conférences est mise à jour régulièrement. Tout ceci avec une présentation très dynamique. http://montessori.forum-actif.net/ Forum pour ceux qui sont intéressés par la pédagogie sur Montessori http://www.montessori-formations.fr/index.html site très intéressant sur Montessori, avec propositions de stages. France 3 Aquitaine a ajouté une vidéo : Le jardin des enfants à Latresne, une école Montessori. film Maria Montessori "une vie consacrée aux enfants" passé le 20 aout 2008 sur T.V. 6 document: montessf unesco Sur France culture le 23 avril 2014: http://www.franceculture.fr/emission-rue-des-ecoles-la-pedagogie-montessori-aujourd-hui-2014-04-23 Un nido montessorien: https://www.youtube.com/watch?v=_eTGu8M77tI De beaux sites de fabrication de matériel: http://www.lecoinmontessori.com/ https://montessorimaispasque.com |