Suite à la dernière newsletter que j'ai envoyé voici le courrier que j'ai reçu:
En dernière année de formation EJE, ça me fait plaisir de vous lire (j'avais d'ailleurs lu votre livre sur les enjeux du métier d'EJE juste avant d'entrer en formation)... vous me soutenez dans ma démarche à être une EJE qui pratiquera la non-violence car je suis triste et en colère de voir qu'en formation les étudiants et les formateurs ne semblent pas être sensibilisés ou concernés à l'éducation à la non-violence car oui pour moi, il est nécessaire de recentrer notre métier sur l'intérêt "supérieur" de l'enfant. Alors enseigner, transmettre dans la bienveillance me semble être primordiale tout comme prendre soin de soi pour prendre soin des enfants.
B.M. Grand merci pour votre message. Je suis très contente que vous trouviez dans mon site de quoi alimenter votre démarche d’éducatrice. C’est pour cela qu’il est fait et que j’essaie d’y mettre tout mon cœur. Mais vous aussi j’ai l’impression…Heureusement que la bienveillance est dans le courant actuellement et je suis étonnée que certains centres ne le prennent pas en considération. Gardez le cap!
Oui j'y mets tout mon cœur dans le travail avec les enfants de par mon histoire familiale et de 4 ans d'expérience en EAJE avant la formation. J'ai même fait un stage en école Montessori en pensant trouver une autre manière d'apprendre, d'éduquer mais cela n'a pas été simple. En attendant, j'essaye de garder le cap, j'apprends à prendre soin de moi et à dire les choses aux bonnes personnes.
Moi aussi je suis étonnée et j'ai même été choquée en début de formation par une étudiante maman qui parlait de fessée pédagogique dans une discussion informel et deux autres étudiantes qui ne disaient point mot. Après je crois que c'est là l'avenir de cette formation oser parler de ce sujet et faire susciter le débat.
Pour moi, " l'EJE sait adapter une activité à chaque situation, trouver les mots justes pour gérer un conflit ou rassurer un enfant " C'est ce que j'avais mis dans ma lettre de motivation avant d'entrer en formation et que je pense toujours !
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En dernière année de formation EJE, ça me fait plaisir de vous lire (j'avais d'ailleurs lu votre livre sur les enjeux du métier d'EJE juste avant d'entrer en formation)... vous me soutenez dans ma démarche à être une EJE qui pratiquera la non-violence car je suis triste et en colère de voir qu'en formation les étudiants et les formateurs ne semblent pas être sensibilisés ou concernés à l'éducation à la non-violence car oui pour moi, il est nécessaire de recentrer notre métier sur l'intérêt "supérieur" de l'enfant. Alors enseigner, transmettre dans la bienveillance me semble être primordiale tout comme prendre soin de soi pour prendre soin des enfants.
B.M. Grand merci pour votre message. Je suis très contente que vous trouviez dans mon site de quoi alimenter votre démarche d’éducatrice. C’est pour cela qu’il est fait et que j’essaie d’y mettre tout mon cœur. Mais vous aussi j’ai l’impression…Heureusement que la bienveillance est dans le courant actuellement et je suis étonnée que certains centres ne le prennent pas en considération. Gardez le cap!
Oui j'y mets tout mon cœur dans le travail avec les enfants de par mon histoire familiale et de 4 ans d'expérience en EAJE avant la formation. J'ai même fait un stage en école Montessori en pensant trouver une autre manière d'apprendre, d'éduquer mais cela n'a pas été simple. En attendant, j'essaye de garder le cap, j'apprends à prendre soin de moi et à dire les choses aux bonnes personnes.
Moi aussi je suis étonnée et j'ai même été choquée en début de formation par une étudiante maman qui parlait de fessée pédagogique dans une discussion informel et deux autres étudiantes qui ne disaient point mot. Après je crois que c'est là l'avenir de cette formation oser parler de ce sujet et faire susciter le débat.
Pour moi, " l'EJE sait adapter une activité à chaque situation, trouver les mots justes pour gérer un conflit ou rassurer un enfant " C'est ce que j'avais mis dans ma lettre de motivation avant d'entrer en formation et que je pense toujours !
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